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Simon Boisseau

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Biographie

Originaire de la Rive-Sud de Montréal, Simon Boisseau a commencé à s’enseigner lui-même la musique vers l’âge de 8 ans, calquant au piano les rock bands des années 60-70, comme les Beatles ou Supertramp de ce monde. Il compose déjà ses premiers morceaux vers l’âge de 10 ans.

Simon Boisseau est fort d’une expérience de scène en tant que claviériste et compositeur au sein du groupe pop rock Barber for the Queen, bien niché dans la scène indie montréalaise. Boisseau se lance enfin en solo, pour que, dit-il « Chaque morceau évoque l’expressivité d’une situation ou d’un sentiment qui m’est impossible de partager avec les mots, sans le son d’un piano. »

À 21 ans, il signe un premier contrat de disque avec Bravo et il lance son deuxième album, Le déjeuner. Album portant sur le rythme effréné et lents des déjeuners, de la dichotomie du moment d’éveil de la journée. Le pianiste autodidacte dévoile son style néo-classique avec Le déjeuner et poursuit sa course folle vers l’inconnu.



Originaire de la Rive-Sud de Montréal, Simon Boisseau a commencé à s’enseigner lui-même la musique vers l’âge de 8 ans, calquant au piano les rock bands des années 60-70, comme les Beatles ou Supertramp de ce monde. Il compose déjà ses premiers morceaux vers l’âge de 10 ans. En 2019, à tout juste 17 ans, il enregistre son premier album Colorblind. À 21 ans, il lancera bientôt son deuxième album, Le déjeuner. « Fuir » en est le premier extrait, promesse néo-classique d’une course folle vers l’inconnu.

Aujourd’hui, Simon apprivoise André Gagnon et Claude Léveillée, écoute Bill Evans et Oscar Peterson, tout en puisant dans la pop japonaise des années 70, sans oublier son amour des rock bands tous acabits. Boisseau est récemment retourné sur les bancs d’école pour approfondir ses connaissances en théorie musicale, plus particulièrement en piano classique, et du même coup faire un bac en enseignement de la musique.

Simon Boisseau n’en est pas non plus à ses premières élucubrations, bien que ce projet solo le sorte quelque peu de la création et de la performance en groupe qu’il connaît au sein du groupe pop rock Barber for the Queen, bien niché dans la scène indie montréalaise.

C’est là que Boisseau s’est émancipé à créer en groupe, et a acquis une expérience de scène qui lui servira sans doute de point d’appui dans son projet solo. Le son de Barber for the Queen n’ayant pas de lien direct avec son projet néo-classique, il demeure tout de même indissociable de l’acte créatif de Boisseau, qui compartimente ses deux projets, quand il entend une nouvelle compo naître entre ses deux oreilles. Ces vases communicants lui permettent, comme il dit, « l’expressivité d’une situation ou d’un sentiment qui m’est impossible de partager avec les mots, sans le son d’un piano. »

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